Saint-Jérôme, le 25 avril 2022 – Au fil de l’accélération du développement de la région et de la multiplication des efforts pour améliorer la qualité des rivières, Abrinord continue d’échantillonner les cours d’eau de son territoire, un suivi entamé en 2010. Les résultats obtenus au fil des ans permettent d’orienter les décisions prises sur le terrain et de sensibiliser les différents intervenants, notamment les associations de lacs et les municipalités.

L’Organisme de bassins versants des rivières Rouge, Petite Nation et Saumon (OBV RPNS) et Profiteausol ont organisé le 1er avril la première soirée de réseautage organisée dans le cadre du projet pluriannuel en agroenvironnement (2021-2025) « Une communauté engagée pour la qualité de l’eau et la biodiversité ».  La soirée s’est déroulée à la salle municipale de Plaisance, sous forme de 5 à 7. Elle a permis de rassembler une trentaine de productrices et producteurs agricoles et de sympathisants du milieu agricole de Plaisance, Papineauville et des environs. 

Saint-Jérôme, le 19 avril 2022 – Les producteurs agricoles du bassin versant du ruisseau des Vases, situé à Brownsburg-Chatham, se sont réunis à deux reprises, en mars et en avril, pour trouver des solutions viables aux problématiques de sédimentation et d’érosion qui accentuent la dégradation de la qualité de l’eau.

Dorénavant, l’eau aura sa propre instance de concertation régionale en Mauricie grâce à la création de Rés’EAU Mauricie, une table regroupant les huit organismes suivants : Environnement Mauricie, Société d’aménagement et de mise en valeur du bassin de la Batiscan (SAMBBA), Organisme de bassins versants des rivières du Loup et des Yamachiche (OBVRLY), Comité ZIP Les Deux Rives, Comité ZIP du lac Saint-Pierre, Association de la gestion intégrée de la rivière (AGIR) Maskinongé, Organisme de bassin versant : Rivières Sainte-Anne, Portneuf et secteur La Chevrotière (CAPSA) et Bassin Versant Saint-Maurice (BVSM).

Saint-Jérôme, le 4 avril 2022 — Une nouvelle étude montre que les milieux naturels du bassin versant de la rivière du Nord dans les Laurentides offrent aux citoyen.ne.s de nombreux bénéfices, des services écosystémiques, dont la valeur économique est estimée à 522,7 millions de dollars par an. Ces milieux participent à la régulation du climat en stockant et séquestrant du carbone, au contrôle de l’érosion et des polluants, à l’atténuation des inondations et au maintien des habitats pour la biodiversité. 

Causapscal, le 31 mars 2022 – Le volet SurVol Benthos est un projet du Groupe d’éducation et d’écosurveillance de l’eau (G3E), auquel l’Organisme de bassin versant Matapédia-Restigouche (OBVMR) participe depuis 2005, qui vise à poser un diagnostic scientifiquement valide sur la santé globale des cours d’eau. La récolte de macroinvertébrés benthiques sert, entre autres, à obtenir un indice de la santé du cours d’eau en se servant des macroinvertébrés comme bioindicateurs. En effet, la présence ou l’absence (et la quantité) de certaines espèces envoie des signaux sur certains enjeux du cours d’eau. Nous remercions d’ailleurs nos partenaires de stations, La Fondation Richard Adams inc. (rivière Causapscal), la MRC de La Matapédia (rivière Humqui) et le G3E (ruisseau St-Laurent).

Communiqué de presse PRMHH Laurentides

Saint-Jérôme, le 24 mars, 2022 - À l’aube de la date limite pour déposer leurs Plans régionaux des milieux humides et hydriques (PRMHH), les MRC de la région des Laurentides (Antoine-Labelle, Argenteuil, Deux-Montagnes, La Rivière-du-Nord, des Laurentides, Les Pays-d’en-Haut et Thérèse-De Blainville), la MRC Les Moulins, ainsi que la Ville de Mirabel ont assisté au dernier atelier de la série sur les PRMHH, proposée par les organismes de bassins versants (OBV) Abrinord, COBALI, COBAMIL et OBV RPNS.

L’OBVMR est maintenant partenaire expert pour le Réseau Ville Éponge.

Scott, le 22 mars 2022. – En 2021, le Comité de bassin de la rivière Chaudière (COBARIC) a travaillé sur quatre projets dans le bassin versant de la rivière des Fermes. L’objectif était de mieux connaître le territoire afin de proposer des aménagements adaptés aux acteurs du milieu. En effet, ces derniers avaient soulevé des problèmes de débits de pointe et de sédimentation ainsi qu’une inquiétude quant à la faible présence de poissons sportifs. La caractérisation effectuée à l’été est la première étape pour améliorer l’état des cours d’eau et permettre de retrouver, à long terme, les rivières poissonneuses d’antan.