Depuis plus d’un an, l’Association de la gestion intégrée de la rivière Maskinongé souhaite s’impliquer davantage dans l’amélioration des pratiques agricoles des environs du lac Mandeville. En 2022, nous avons établi un premier contact avec le réseau agricole afin de cibler les besoins techniques, financiers et autres. Un portrait du milieu a été livré au cours de l’hiver 2023 afin de faciliter notre réflexion sur les enjeux et les solutions potentielles à offrir aux agriculteurs et agricultrices.  Nous espérons mettre en place durant la prochaine année certaines nouvelles pratiques et certains aménagements déjà discutés avec les entreprises engagées. Reste à savoir si un projet collectif naîtra pour favoriser la mise en application de ces pratiques environnementales.

Causapscal, le 27 juillet 2023 – Il y a quelques semaines, nous vous avons avisés d’un nouvel escargot envahissant dans le bassin versant: la Vivipare Géorgienne. Malheureusement, nous devons rajouter une espèce à la liste: la Vivipare Chinoise.

Grâce au soutien financier de la Fondation de la faune du Québec, du Moulin seigneurial de Pointe-du-Lac et du Gouvernement du Québec, dans le cadre du Mois de l’eau, l’Organisme de bassins versants des rivières du Loup et des Yamachiche (OBVRLY) a initié 39 jeunes à la pêche sportive le 3 juin dernier. 

Saint-Jérôme, le 25 juillet 2023 – Le 24 août prochain, Abrinord, l’Organisme de bassin versant de la rivière du Nord, en collaboration avec la Ville de Saint-Jérôme, invite le grand public à une soirée éducative sur le thème de l’eau potable. En compagnie de l’équipe d’Abrinord et de professionnels du domaine, venez assister à la projection du documentaire La goutte de trop. Ce court métrage met en lumière le parcours d'une goutte d'eau, depuis l'usine d'épuration jusqu'au robinet de nos foyers, tout en explorant les méthodes permettant de préserver cette ressource précieuse et épuisable. 

Inscrivez-vous gratuitement à la soirée

Plus d'informations

En juillet, la berce du Caucase est en fleurs partout en Chaudière-Appalaches. Même si elle est très impressionnante, les neuf organismes de bassins versants de la Chaudière-Appalaches rappellent que cette plante exotique envahissante est dangereuse pour la santé humaine et que vous ne devez pas intervenir, la couper ou la faucher au risque de vous brûler ou d’empirer le problème. Pour une sixième année consécutive, les citoyens peuvent signaler sa présence sur le site web byebyeberceducaucase.com ou au 581-224-6671.

De Causapscal, en passant par Rimouski, La Pocatière jusqu’à Témiscouata, 18 juillet 2023 – L’an dernier, la première identification de Moule Zébrée au Bas-Saint-Laurent a été confirmée au lac Témiscouata. Une fois observée dans un plan d’eau, elle ne peut pas être enlevée. Il est pratiquement impossible de les éradiquer, à moins de tuer tous les êtres vivants dans le lac... LIRE LA SUITE >>> https://www.matapediarestigouche.org/single-post/comme-pour-les-mains-en-temps-de-covid-lavez-vos-bateaux-en-rentrant-et-sortant-des-plans-d-eau

Mireille Chalifour, directrice générale de l’OBV Matapédia-Restigouche:

1 877 886-3314 p1, direction@matapediarestigouche.org

Anne Allard-Duchêne, directrice OBV Fleuve St-Jean:

1 418 894-7445, direction@obvfleuvestjean.com

À la suite des premiers ateliers de travail du LAB-EAU-ROUSSE organisés en novembre dernier, le Conseil des bassins versants des Mille-Îles (COBAMIL) et les partenaires du projet s’associent cette fois-ci à l’Institut de recherche et de développement en agroenvironnement (IRDA) pour organiser deux demi-journées techniques qui auront lieu les 9 et 10 août prochains. Ces deux évènements seront l’occasion de rassembler les producteurs et les acteurs du territoire autour d’un enjeu commun : la gestion durable de l’eau dans la région d’Oka.

Un nouveau jardin de pluie pour Stanbridge East

Bedford, jeudi 13 juillet 2023 – La municipalité de Stanbridge East se dote d’un jardin de pluie démonstratif, une installation utile pour améliorer la gestion des eaux pluviales. L’objectif de ce projet : faire connaître aux citoyens et visiteurs ces aménagements encore peu connus et inciter les citoyens à imiter la municipalité en aménageant des jardins de pluie sur leurs terrains. Un panneau d’interprétation sera installé au début du mois d’août.

Cet aménagement, financé par la municipalité de Stanbridge East, a été rendu possible grâce à l’initiative et au travail terrain du conseiller municipal Marcus Flynn ainsi que du support technique de l’Organisme de bassin versant de la baie Missisquoi (OBVBM).

Les avantages d’un jardin de pluie
Le jardin de pluie est une platebande qui recueille l’eau de pluie et du ruissellement pour ensuite favoriser son infiltration dans le sol. Cet aménagement résidentiel contribue à améliorer la gestion des eaux pluviales :
•    Augmente la rétention et la filtration de l’eau pluviale ainsi que son infiltration dans le sol et ainsi diminue les risques d’inondations;
•    Diminue les débordements des systèmes d’égouts et l’engorgement des réseaux d’égouts unitaires;
•    Diminue le ruissellement de l’eau et limite l’érosion;
•    Filtre les polluants naturellement et ainsi limite la pollution des cours d’eau;
•    Contribue à la beauté du terrain avec ses plantes indigènes;
•    Favorise la biodiversité.
Plus il y a de jardins de pluie, plus leur effet est significatif!
Un citoyen qui a aménagé un jardin de pluie sur son terrain à Bedford, M. André Deshaies affirme :
« L’aménagement est très beau avec des pierres de rivière et de belles plantes. Je suis bien content de mon jardin de pluie surtout parce qu’il éloigne la descente d’eau de la maison et abreuve mes deux bouleaux et mes plantes. Ça me rassure! »

Un aménagement peu couteux et facile à réaliser
L’aménagement de jardin de pluie peut se faire à moindres coûts. Par exemple, le présent projet de la municipalité de Stanbridge East a été réalisé par le conseiller municipal Marcus Flynn sans frais de main d’œuvre. Les coûts assumés par la municipalité sont d’environ 165 $ pour du matériel (tuyau, fleurs, paillis, etc.), ce qui exclut les coûts du panneau de sensibilisation.

Des ressources pour aménager un jardin de pluie
L’OBVBM a développé une expertise dans le domaine de la réalisation de jardin de pluie. En effet, Émile Veilleux, technicien en bioécologie à l’OBVBM, a déjà formé des municipalités, des MRC, des associations de lacs ainsi que des citoyens pour mettre en place ces installations. L’OBVBM a aussi accompagné et formé les employés de certaines municipalités dont la Ville de Dunham dans le but de construire un jardin de pluie démonstratif.
Une page web est dédiée à ce sujet sur notre site Internet à : https://obvbm.org/bonnes-pratiques/jardin-de-pluie

Récupérer l’eau pour protéger nos cours d’eau… et économiser
Les eaux pluviales peuvent engendrer des débordements des réseaux d’égouts, ce qu’on appelle les surverses. Ces débordements d’eau usées se font directement dans les cours d’eau, ce qui contribue directement à leur dégradation. Lorsque les eaux usées ne débordent pas, elles doivent être traitées dans une station d’épuration d’eau, dont le coût d’opération dépend de la quantité d’eau qui y est traitée.

C’est pourquoi les jardins de pluie, tout comme les barils récupérateurs d’eau, sont utiles : ils permettent d’éviter que l’eau de pluie captée par le toit d’une maison n’aille saturer le réseau d’eau municipal. Ces aménagements simples contribuent donc à limiter la pollution de nos cours d’eau ainsi que la hausse des coûts liés au traitement des eaux.



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Source : Anne Marie Comparot
   Chargée des communications et projets
   communications@obvbm.org
   450 539-0535

Mont-Tremblant, le 13 juillet 2023 – Durant l’été 2022, l’Organisme de bassins versants des rivières Rouge, Petite Nation et Saumon (OBV RPNS), en collaboration avec la MRC des Laurentides, a documenté l’état des traverses de cours d’eau et des chemins forestiers en terre publique.

Le 28 juin dernier, le COBALI tenait son assemblée générale annuelle, un événement qui aura permis de dresser un bilan de ses réalisations et de ses projets en cours en plus d’entamer les démarches pour la formation de sa nouvelle table de concertation.

En pleine démarche de révision de sa stratégie de mobilisation, le Comité du bassin versant de la rivière du Lièvre (COBALI) a fait entériner les modifications apportées à ses règlements généraux, document qui définit la gouvernance de l’organisme. Cette étape charnière vise entre autres à permettre la création d’une table de concertation séparée du conseil d’administration dans le but éventuel d’inviter de nouveaux acteurs de l’eau à s’impliquer pour la protection de la ressource eau à l’échelle du territoire.