C’est avec beaucoup de fierté que le Regroupement des organismes de bassins versants du Québec (ROBVQ) annonce la nomination de Karine Dauphin à titre de directrice générale de l’organisation. Cette dernière est entrée en poste le 22 novembre 2021.
Le Regroupement des organismes de bassins versants du Québec (ROBVQ) a fêté le 21 novembre dernier ses vingt ans d’existence. Bien plus qu’une occasion pour l’organisation et les 40 organismes de bassins versants (OBV) du Québec de célébrer les réalisations et le chemin parcouru, cet anniversaire rappelle à tous les Québécois les changements profonds qui ont été effectués dans les modes de gouvernance, il y a deux décennies, pour garantir la pérennité de la ressource.
Le 19 novembre, le ministère de l’Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques annonçait officiellement un investissement de 5,2 M$ pour la mise en œuvre du projet Castor, un projet collectif de gestion intégrée de l’eau en milieu agricole sur le ruisseau au Castor.
En août dernier, le Regroupement des organismes de bassins versants du Québec (ROBVQ) déposait au ministère de l’Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques (MELCC) le mémoire Projet de régime transitoire de gestion des zones inondables, des rives et du littoral. Celui-ci constitue la réponse de l’organisation à la consultation publique lancée par le gouvernement du Québec en juin dernier sur le projet de régime transitoire intitulé: Projet de règlement concernant la mise en oeuvre provisoire des modifications apportées par le chapitre 7 des lois de 2021 en matière de gestion des risques liés aux inondations.
En août dernier, le Regroupement des organismes de bassins versants du Québec (ROBVQ) a déposé au gouvernement du Québec un mémoire sur le projet de règlement modifiant principalement le Règlement sur la compensation pour l’atteinte aux milieux humides et hydriques (RCAMHH).
Depuis 2019, la Ville de Shawinigan souhaite mettre en place un projet de code d’éthique pour le tronçon de la rivière Saint-Maurice entre le secteur Saint-Jean-des-Piles et les secteurs Shawinigan/Shawinigan-Sud. Afin de vérifier l’acceptabilité de ce code par les différents utilisateurs de la rivière, la Ville a entrepris au courant de l’été 2021 une démarche de consultation citoyenne dont la coordination a été confiée à Bassin versant Saint-Maurice (BVSM).
Le Regroupement des organismes de bassins versants du Québec (ROBVQ) coordonne le Projet de gestion intégrée de la rivière des Outaouais depuis mars 2020 et se prépare à passer le relais à l’Organisme des bassins versants des rivières Rouge, Petite Nation et Saumon (OBV RPNS).
Au Conseil de l’Eau Gaspésie Sud (CEGS), on s’inquiète depuis quelques années de la prolifération d’algues, présentes notamment dans la rivière Bonaventure. Et si les rejets des stations municipales de traitement des eaux usées contribuaient au problème? Bien que le ministère de l’Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques (MELCC) publie annuellement des rapports de performance sur les ouvrages d’assainissement des eaux usées et que l’Atlas sur l’eau donne les informations sur la conformité des rejets des effluents pour chacune des stations d'épuration qui sont géolocalisées, les données actuelles ne permettent pas d’établir un portrait complet à l’échelle du bassin versant. Le CEGS s’est donc tourné vers Fondation Rivières afin de dresser un état de la situation sur son territoire.
Le 30 septembre dernier s’est conclu le Défi AquaHacking Rivière des Mille Îles 2021, organisé par AquaAction en collaboration avec le Centre d’interprétation de l’eau. Cette compétition a permis la mise sur pied de quatre entreprises en démarrage qui proposent des solutions innovantes pour préserver la rivière des Mille Îles et améliorer la gestion de l’eau au Canada.
La goutte de trop, un documentaire de 53 minutes sur la gestion de l’eau potable réalisé par Jérémie Battaglia, se veut un outil de sensibilisation à la protection, à la consommation et à la gestion de l’eau au Québec.
Le Règlement sur l’encadrement d’activités en fonction de leur impact sur l’environnement (REAFIE), qui précise l’encadrement des activités soumises à une autorisation du ministère de l’Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques (MELCC), est entré en vigueur en décembre 2020. Aussi, à partir du 31 décembre 2021, les nouvelles dispositions concernant les renseignements et documents à transmettre pour obtenir une autorisation ou transmettre une déclaration de conformité entreront en vigueur. Afin d’aider les personnes concernées à mieux comprendre le REAFIE et l’application des mesures transitoires, le ministère de l’Environnement a publié sur son site Internet une panoplie d’outils de communication.