Le lac Champlain est toujours menacé par la propagation des espèces exotiques envahissantes comme le démontre le bilan 2022 de l’Organisme de bassin versant de la baie Missisquoi. L’OBVBM a inspecté plus de 1 080 embarcations nautiques à la descente et la remontée au Port de plaisance à Venise-en-Québec, au cours de la saison 2022. Le bilan de cette année démontre que 22 % (234) de ces embarcations transportaient des espèces exotiques envahissantes (EEE). 

Causapscal, le 20 décembre 2022 - Le Conseil d’administration et l’équipe de l’Organisme de bassin versant Matapédia-Restigouche (OBVMR) se sont réunis récemment lors d’un déjeuner convivial à Causapscal. Après plusieurs CA et rencontres virtuelles, se rencontrer en présentiel a permis de partager les motivations de chacun.e.s et mieux connaître les humains derrière les administrateurs.trices et l'équipe de travail.

Organisé par le COBAMIL, la 3ième édition du Gala Flamb’EAU a eu lieu le 30 novembre dernier et l’énergie et la bonne humeur générales ont fait de cette soirée une très belle réussite. Élaborée autour de la thématique de l’Eau et du Feu, de nombreux acteurs du territoire se sont mobilisés le temps d’une soirée afin de célébrer ensemble les gagnants 2022. 

La Corporation du bassin de la Jacques-Cartier (CBJC) en partenariat avec la Fédération québécoise pour le saumon atlantique (FQSA) a mené une étude auprès des pêcheurs de saumon dans le cadre de sa réflexion sur l’idée d’ouvrir la pêche au saumon sur la rivière Jacques-Cartier.

Causapscal, le 24 novembre 2022 – Le 3 novembre dernier, plusieurs acteurs de l’eau motivés ont orienté la planification stratégique pour la gestion de l’eau en participant à la deuxième Table de Concertation (TC) organisée par l’Organisme de bassin versant Matapédia-Restigouche (OBVMR). Le bilan du Plan Directeur de l’Eau (PDE) de 2014-2021 a été réalisé en octobre; la TC est rendue prête pour l’action.

Grand initiateur de la mobilisation autour de la ressource eau, le Comité du bassin versant de la rivière du Lièvre (COBALI) travaille de pair avec les acteurs de l’eau du territoire depuis maintenant 19 ans. Alors que se dessine peu à peu la fin de l’année 2022, l’organisme se propulse vers un futur qui promet des changements importants.

Ayant tout juste déposé le bilan du Plan directeur de l’eau pour l’année 2018-2023, le COBALI entame une révision de sa stratégie de mobilisation. L’organisme souhaite rassembler les acteurs de l’eau de sa zone de gestion, soit l’ensemble de la population qui est en contact avec la ressource hydrique dans le cadre de son travail et/ou de ses loisirs, afin de mettre en commun les efforts pour protéger l’eau et la biodiversité aquatique sur le territoire.

Le COBALI est avant tout une table de concertation, c’est à dire qu’il a pour mission de rassembler les acteurs de l’eau autour de lieux d’échange et de discussion en plus de faciliter la coopération de ces acteurs afin d’agir collectivement pour la protection de la ressource hydrique. La population concernée de près ou de loin par les enjeux de la protection de l’eau se veut très vaste. Il peut s’agir autant de citoyens, d’acteurs économiques, municipaux, communautaires ou de communautés autochtones.

Le COBALI souhaite donc agir comme un tremplin pour l’effort collectif mis de l’avant par les acteurs de l’eau de sa zone de gestion. Il fait d'ailleurs appel à la population en vue de recruter des acteurs clés qui seraient prêts à faire partie d’une table de concertation régionale en s’impliquant activement face aux enjeux de l’eau sur le territoire. L’organisme mise sur la force des réseaux qui lie les acteurs permettant ainsi de donner un poids à la mobilisation et d’apporter de réels changements.

Saint-Jérôme, le 23 novembre 2022 – Ce sont près de 75 personnes, venues d’aussi loin que Mont-Laurier et Saint-Sixte, qui se sont réunies le 11 novembre dernier pour prendre part à l’atelier de concertation sur les barrages anthropiques (c.-à-d. les barrages faits par les humains). L’événement, organisé par les organismes de bassins versants de la rivière du Nord (Abrinord) et des rivières Rouges, Petite Nation et Saumon (OBV RPNS), s’est déroulé au centre communautaire Notre-Dame, à Saint-Jérôme.

Scott, le 22 novembre 2022. Le Comité de bassin de la rivière Chaudière (COBARIC) est heureux d’annoncer la fin d’un projet visant à documenter les causes du transport de sédiments et de l’augmentation des débits de pointe dans le bassin de la rivière des Fermes. Entre 2021 et 2022, l’équipe du COBARIC a réalisé plusieurs sessions de caractérisation sur le terrain, passant au peigne fin les cours d’eau et leurs usages pour trouver l’origine des problématiques soulevées par les municipalités du territoire. À l’issue du projet, des plans d’aménagements ont été réalisés. Ils permettront d’agir concrètement pour améliorer la qualité de l’eau.

Des producteurs et propriétaires agricoles des municipalités de Mayo, de Lochaber et de Lochaber-Partie-Ouest dans la MRC de Papineau ont participé à un projet planifiant la végétalisation de 1 800 mètres linéaires de bande riveraine, faisant suite à un travail de caractérisation réalisé par le COBALI à l’été 2020.

Ce sont cinq producteurs ou propriétaires agricoles du sud de la rivière Blanche et du ruisseau MacClean, l’un de ses tributaires, qui ont participé à un projet de revégétalisation des bandes riveraines mis de l’avant par le COBALI. Ce projet a été réalisé en partenariat avec la Politique de soutien aux projets structurants de la MRC de Papineau, Capital Nature, les municipalités de Mayo et Lochaber-Partie-Ouest, ainsi que Mathieu Lacombe, député de Papineau et Stéphane Lauzon, député d’Argenteuil - La Petite Nation. Cette seconde phase d’un projet d’envergure découle d’un travail de caractérisation ayant permis d’identifier les secteurs de la rivière Blanche où les rives présentaient des bandes riveraines pouvant être améliorées.

D’avril à octobre, les 9 organismes de bassins versants de la Chaudière-Appalaches ont poursuivi la lutte contre la berce du Caucase. Les résultats sont encourageants, signe que la lutte porte ses fruits. Ainsi, pour une 5e année consécutive, ils ont réussi à atteindre l’objectif « zéro graine au sol », évitant d’alimenter la banque de graines déjà présente.